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Conjuguer bien-être, bien faire et bien agir en entreprise

LE CERCLE. Dans le contexte actuel de développement de la qualité de vie au travail voulu par le nouveau gouvernement, le bien-être est en train de devenir un sujet à la mode en France (il était temps, cela fait plus de 30 ans que la QVT est un sujet dont on cause chez les Québécois qui comme souvent ont dans ce domaine une belle longueur d’avance sur leurs cousins français). Pourquoi et pour quoi ?

Dans le contexte actuel de développement de la qualité de vie au travail (QVT) voulu par le nouveau gouvernement, le bien-être, de plus en plus sous le feu des projecteurs médiatiques, est en train de devenir un sujet à la mode en France (il était temps, cela fait plus de 30 ans que la QVT est un sujet dont on cause chez les Québécois qui comme souvent ont dans ce domaine une belle longueur d’avance sur leurs cousins français).

Pourquoi et pour quoi ? Autant il est aisé de répondre à la première question (pourquoi ?) – il s’agit de préserver la santé mentale des travailleurs, trop longtemps négligée par les entreprises en France – autant il est plus délicat de répondre à la seconde (pour quoi ?), car elle suppose de connaître la finalité du bien-être – ce qui est loin d’être évident tant pour les organisations que pour les salariés eux-mêmes.

On peut certes supposer que des salariés bien dans leur peau seront bien dans leur poste, et donc performants pour l’organisation qui les emploie, tout en étant moins malade de leur travail, ce qui arrangera les comptes de la Sécu. D’où l’intérêt manifeste pour les dirigeants d’entreprise, au-delà de ceux qui nous gouvernent, de développer des politiques de bien-être qui non seulement les prémunissent de s’exposer à un risque pénal (comme l’ex-dirigeant de France Télécom, mis en examen en juillet 2012 pour cause de suicides professionnels de certains de ses salariés, cf. notre dossier du même mois), mais aussi qui accroissent leur performance sociale et donc pérennisent leur performance économique.

Cette supposition est toutefois difficile à démontrer scientifiquement ; il faudrait trouver deux entreprises identiques et jouer sur la variable bien-être : dans l’une on appliquerait une politique favorisant le bien-être des salariés et dans l’autre non, ce qui est soi dit en passant éthiquement discutable, la mesure des écarts constatés devant valider l’hypothèse que la performance sociale et économique de la première étant supérieure à la seconde. Néanmoins, nombre de recherches en sciences humaines et sociales ont montré tout l’intérêt de se préoccuper de la motivation et de l’engagement des salariés.

Et justement, si on peut supposer que tout être humain aspire au bien-être et donc au bonheur (à moins d’être gravement perturbé) rien ne dit que même s’il est bien dans sa peau et dans son poste, il aura envie de bien faire son travail. En effet, cette supposition nécessite que l’on se pose d’abord la question de ce qu’est le bien-être et comment le concrétiser au sein des organisations.

Ensuite, que l’on s’interroge sur le lien éventuel entre bien-être au travail et bien faire son travail. Nous verrons enfin que cette interrogation débouche sur un dilemme abyssal : bien faire son travail est-ce bien agir, et en cas de réponse est négative, en quoi ne pas faire son travail permet d’éviter de mal agir, à défaut de bien agir ?

La satisfaction, ressort du bien-être, une addiction ?

Les psychologues et les philosophes savent bien que les ressorts de la nature humaine sont tels que la satisfaction du désir – et donc des besoins – est addictive : Schoppenhauer parle du « manque du manque ». Dès lors que le désir est assouvi, on désire le manque pour pouvoir à nouveau ressentir du désir afin de l’assouvir à nouveau, sauf que comme le dit l’adage, plus on s’en sert plus il s’use : il faut que les « doses » soient plus fortes pour qu’en plus du plaisir ressenti on éprouve la satisfaction psychologique d’avoir assouvi ce besoin.

C’est typiquement la différence qui existe entre « appétit » et « appétence » : quand bien même notre faim est assouvie, nous désirons encore et toujours plus ces mets qui excitent nos sens et nous incitent à nous resservir plus que de raison, parfois jusqu’à l’obésité, quand bien même nous savons que cette dernière est mauvaise pour la santé. Épicure, défenseur ardent des plaisirs, avait pointé en son temps les dangers de désirs excessifs qui aliènent l’individu au plaisir et donc à sa satisfaction ; la classification qu’il nous a laissée est très éclairante sur le travers humain consistant à courir vers « toujours plus » de plaisir.

Loin de cette logique, Épicure, adepte du « ni trop, ni trop peu » distingue les désirs naturels et non naturels. Au sein de la catégorie des désirs naturels, il différencie ceux qui sont nécessaires ou vitaux (se nourrir, se vêtir…) de ceux qui ne sont pas nécessaires (la variété ou l’agrément en nourriture, vêtements…). Concernant la catégorie des désirs non naturels, il distingue ceux qui sont artificiels (la richesse, la gloire…) de ceux qui sont impossibles à satisfaire (par exemple être immortel). Il en conclut qu’il faut proscrire les désirs non naturels et se méfier des désirs naturels non nécessaires qui font plus de mal que de bien.

Spinoza enfonce le clou en précisant que « nous voulons, nous désirons, tendons vers quelque chose non pas parce que nous jugeons qu’elle est bonne, mais nous jugeons qu’elle est bonne parce que nous la voulons, tendons vers elle, la désirons ». Et encore : « le Bien est le nom que nous donnons à nos appétits ». L’appréciation ne porte pas sur la chose désirée, mais sur nos désirs, véritable tonneau des danaïdes, ce que les publicitaires ont bien compris…

Le syndrome du « salarié gâté »

Est-ce à dire que pour concrétiser leur politique de bien-être au travail les organisations doivent se plier aux quatre volontés (entendre « quatre désirs » dans l’acception spinozienne) de leurs salariés ? Ce serait une spirale sans fin, car cela supposerait de connaître les désirs de chacun de ses collaborateurs (tâche quasi impossible) pour d’une part les satisfaire et d’autre part (chose sans doute encore plus délicate) de ne pas les rendre insatisfaits. Cette remarque, anodine et triviale en apparence, cache un paradoxe que l’on peut synthétiser brutalement de la sorte : plus les organisations se focaliseront sur l’assouvissement des désirs de leurs salariés, plus elles accroîtront l’insatisfaction de ces derniers. Quand bien même elle parviendrait à partiellement les satisfaire (par plus de salaire, d’avantages sociaux ou de confort), il en faudrait toujours plus.

Les résultats de l’Observatoire de la Vie Au Travail (OVAT) en attestent depuis sa création en 2008 : l’insatisfaction au travail des Français est chronique. Car la solution ne réside pas sur l’obscur objet du désir, si l’on en croit Épicure, Spinoza et Schoppenhauer, mais sur la dynamique du désir et par conséquent sa maîtrise (ni trop, ni trop peu). La balle est, semble-t-il, dans le camp des salariés (mais aussi des managers et des dirigeants quand ils sont eux-mêmes face à leur désir de plus de performance ou plus de rentabilité qui elles aussi sont terriblement addictives ?).

Ceci éclaire le syndrome des « salariés gâtés qui ne sont jamais contents et qui en veulent toujours plus » que les consultants que nous rencontrons parfois dans certaines entreprises. Cela permet de mieux comprendre par exemple pourquoi les salles de « relaxation bien-être » voulues par les salariés et leurs représentants avec la bénédiction de leur Direction, que l’on voit fleurir dans bon nombre d’entreprises, sont désertées au bout de quelques mois, voire de quelles semaines… Que faire alors ?

Conjuguer bien-être avec et bien agir

Il faut relire Kant et comprendre ce qui se joue dans ce qu’il appelle la « dialectique de la vertu et du bonheur », concepts ô combien interdépendants. Le bien-être est lié au bien agir. En effet, bien agir provoque du bien-être et même contribue au bonheur de l’individu, alors que le bien-être comme fin en soi n’aboutit que sur une forme d’insatisfaction chronique, nous l’avons vu plus haut. Le monde serait bien mal fait si ce qui est juste et bon n’avait que des conséquences désagréables. Au travail comme dans les autres sphères de vie, l’individu aspire donc au bien, voire au bonheur, comme le soulignait déjà Aristote : chacun souhaite bien faire son travail, bien agir.

Si le travail est si insatisfaisant, comment peut-il alors contribuer au bonheur des salariés ? Le bien-être doit être distingué du bonheur même si le premier contribue au second : le bien-être est un état physique et moral de plaisir, jugé satisfaisant, qu’il soit passif (nourriture, douceur, confort…) ou actif (une action dans laquelle l’agent s’accomplit) tandis que le bonheur est la collection de ces états de bien-être. Être heureux c’est apprécier le déroulement de sa propre vie, à l’aune de l’idéal de vie que l’on s’est fixé. Chaque individu est seul juge de sa situation, s’il est satisfait, heureux, ou pas. On peut tout avoir pour être heureux sans pour autant se trouver bien. Ainsi, bien faire son travail n’engendre pas forcément une bonne action, en ce sens, il peut rendre les salariés non seulement insatisfaits, mais malheureux. Comme nous le précisons dans le billet d’humeur de septembre 2012, Lee Oswald a bien visé puisqu’il a atteint sa cible, mais a-t-il bien agi en tuant Kennedy ?

Quand bien faire son travail aboutit à faire le malheur d’autrui

Transposons cet exemple historique dans le long fleuve tranquille de la vie des organisations avec un cas bien réel. Soit Gérard, conseiller-clientèle d’une banque de réseau bien connue ; son employeur lui demande instamment de vendre, avec une belle prime à la clé, tel produit financier dont les risques sont élevés, car les rendements sont plus qu’aléatoires ; il sait pertinemment qu’il peut fragiliser les économies et la retraite de cette vieille dame qu’il a en face de lui et qui lui font confiance depuis de nombreuses années ; mais la vente de ce produit lui permettrait d’atteindre ses objectifs commerciaux, d’avoir un super bonus et de contribuer à la performance économique de son employeur.

Notre vendeur est alors face à un dilemme : comment doit-il agir ? La réponse n’est pas une question de compétences, mais d’éthique. S’il ne vend pas ce produit, il va mal faire son boulot, ne pas toucher sa prime, être réprimandé par sa hiérarchie, mais il va bien agir en préservant les intérêts de sa cliente, sans même qu’elle ne s’en rende compte. S’il vend ce produit, il va bien faire son job, être récompensé pour cela par son employeur, mais par le même temps il va commettre un acte éthiquement limite du point de vue de ses valeurs, quoique pas illégal (la vieille dame n’a qu’à lire entre les lignes du contrat qu’elle va signer les yeux fermés, comme à son habitude). Si le vendeur choisit la première branche de l’alternative, il sera insatisfait, car il n’aura pas touché sa prime, toutefois il se sentira vertueux de n’avoir pas été en contradiction avec ses valeurs personnelles, ce qui contribuera à son bonheur.

S’il choisit la seconde branche, il sera certes satisfait de toucher sa prime, mais il se sentira peut-être un « salaud » d’avoir si mal agit. Il se dira alors « à quoi bon travailler dans cette banque si c’est pour mettre sur la paille les petites vieilles sans défense ? », ce qui contribuera à son malheur. Et la boucle sera bouclée : en faisant bien son travail, il agira mal vis-à-vis d’autrui et son travail perdra tout son sens.

Quand il se fait du bien, il fait le malheur d’autrui, quand il cherche à faire le bien d’autrui, il fait son malheur. Et ce n’est pas la salle de relaxation du sous-sol, récemment installée à grands frais par son employeur, de concert avec le CE, qui pourra y faire quelque chose, aussi éthérée que soit la « coach bien-être » qui anime les lieux d’une verve toute pseudoorientale.

Les non-sens du travail, nouveau sens au travail ?

La perte de sens que vivent actuellement les travailleurs français (et qui sera détaillée dans l’édition 2012 des résultats de l’OVAT) est révélatrice de ce souci de bien agir au travail, au-delà du fait de bien faire son job. Parce que les français, nous le disons souvent dans ce blog, ont une haute idée du travail : comme le révèle régulièrement les résultats de l’OVAT, leur valeur travail est forte, elle est même idéalisée, alors que par le même temps ils se disent insatisfaits par les conditions de travail que leur font vivre leur employeur.

Dit autrement, cela signifie que les Français aimeraient pouvoir « bien » agir via leur travail, mais que ce qu’on leur demande de faire entre en conflit avec leurs valeurs et leur font faire du mal à autrui ou à l’environnement, voire leur font du mal tout court. Nous touchons ici du doigt une contradiction qui pourtant est la clé de l’énigme de la posture des Français vis-à-vis du travail. Les Français pensent (dans leur esprit) favorablement le travail alors qu’ils le vivent (dans leurs tripes) défavorablement.

On peut être insatisfait (dimension sensible) dans son vécu quotidien par son travail, en valeur relative chez tel employeur (dimension particulière), mais penser que le travail, en valeur absolue (dimension universelle), contribue à son bonheur (dimension intelligible). Penser le travail différemment de la façon dont on le vit, ce n’est absolument pas contradictoire, c’est même parfaitement complémentaire même si on peut aspirer à plus de congruence.

C’est comme le bonheur : tout le monde tend vers le bonheur, mais force est de constater que tout le monde n’est pas heureux ni même satisfait, car nous l’avons vu, on n’a pas pire ennemi que soi-même, d’autant plus quand nous cédons aux sirènes des désirs naturels non nécessaires ou des désirs non naturels, malgré les mises en garde d’Épicure. Plus on a une haute idée du travail, plus on va être exigeant avec son travail et donc plus facilement insatisfait et donc sujet aux pertes de sens.

Quand ne pas avoir d’éthique est déjà une posture éthique…

Reste à déterminer si les Français ont raison d’être aussi exigeants avec cet objet « travail », cf. ce qui a été dit plus haut sur la maîtrise des désirs.

D’où, côté salariés, la nécessité d’entamer un travail sur soi, parfaitement intime et personnel, pour tendre vers cette maîtrise et ne plus être le jouet de ses passions : vouloir toujours plus d’augmentation de salaire, plus de promotions, plus d’avantages, plus de sécurité, plus de confort, plus de bien-être… alors qu’on n’en a pas vraiment besoin et que l’on pourrait se contenter déjà de ce que l’on a. Toutefois, il n’y a pas que les salariés qui doivent faire un travail sur eux-mêmes.

Côté employeurs, il faut également balayer devant sa porte. Force est de constater que ceux qui conçoivent le prescrit, le travail ne prennent que trop rarement en compte ce que pensent et vivent ceux qui l’exécutent (mais c’est la spécificité de la division du travail qui sépare les concepteurs des exécutants et oublie de les réunir une fois le prescrit du travail effectué ce qui contribue à les opposer au lieu de les faire travailler main dans la main), tant en amont lors de sa conception qu’en aval lors de sa reconfiguration.

De plus, une organisation du travail fonde sa finalité et donc son efficacité sur les principes de la rationalité instrumentale : atteindre un objectif au moindre coût et au meilleur rendement, sans se soucier d’éthique. Comme l’a brillamment souligné Weber, la rationalité instrumentale détermine les moyens nécessaires pour atteindre telle fin (« si je veux subvenir à mes besoins naturels, alors je dois travailler ou voler »), contrairement à la rationalité objective, fondée sur des valeurs, qui fixent des fins impératives et qui conditionnent les comportements de façon structurelle et durable (« il ne faut pas voler »).

Or, penser qu’une organisation ne doit pas se soucier d’éthique est à la fois vrai et faux : ne pas se soucier d’éthique, c’est certes être en phase avec les principes de la rationalité instrumentale, mais c’est aussi avoir une posture éthique par défaut, susceptible d’entrer en conflit avec d’autres postures éthiques, fondées surs la rationalité objective. Estimer qu’il est possible de naviguer dans le monde comme dans une organisation, régi par les principes de la seule rationalité instrumentale, est une erreur grave. Car les organisations interagissent avec leur environnement dans tous les sens du terme : sociétal, social, environnemental…

Or, leur environnement ne se fonde pas, loin s’en faut, sur la seule rationalité instrumentale. Les constructeurs automobiles, deuxième industrie la plus polluante de la planète, l’ont bien compris : ne pas prendre en compte les valeurs environnementales dans sa stratégie, sa R&D, son marketing ou sa communication, c’est se tirer une balle dans le pied. Car ces valeurs étayent la rationalité objective des clients automobilistes, de plus en plus concernés par la préservation de l’environnement et par la cherté du carburant qui orienteront leur acte d’achat vers le véhicule le moins polluant et le moins gourmand…

On touche du doigt le conflit de rationalité qui aujourd’hui titille les salariés français avec leur employeur. Par effet rebond ce conflit doit pousser les organisations à repenser non seulement les injonctions qu’elles adressent à leurs collaborateurs, mais aussi par truchement leur politique « bien-être », si elles ne veulent pas accroître leur mal-être par perte de sens au travail. Le bien-être est ainsi indissociable du bien agir, comme la satisfaction de certains plaisirs (ceux qui ne sont pas addictifs) qui contribue à l’atteinte du bonheur sans pour autant être le bonheur en soi.

Ne pas se soucier de l’éthique du quotidien, celle qui se niche dans les pensées et actes des salariés, c’est pour une organisation mal agir et c’est pousser ses salariés à faire le mal, sans même avoir eu l’intention de le faire : s’abstenir d’avoir une posture éthique, c’est donc déjà avoir une posture éthique, susceptible de générer du mal et du malheur, plutôt que du bien-être et du bonheur.

Source : Le Cercle – Les Echos / Ecrit par Pierre-Eric Sutter

Le 04 octobre 2012,

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Comment faire pour se motiver et motiver ses équipes durant les périodes de crise ?

La crise, tout le monde en parle ! Ce qui la rend plus proche, plus plausible et … plus certaine ! Cette dimension émotionnelle la rend redoutable : elle brouille les cartes et les esprits.

Perte de repères, indécision, peur, incertitude, c’est un voile opaque qui surgit devant l’entreprise, l’empêchant de se projeter. Dès lors, le mal qui guette le dirigeant, n’est-ce pas l’immobilisme, l’attentisme et ses corollaires : perte de confiance, défiance, doute, remise en cause, absentéisme ? Mettre l’entreprise en mouvement, créer une dynamique est donc impératif.

Une seule réaction, l’action !

Et le dirigeant veut faire face. Il s’affaire, veut tout faire. Cette hyperactivité, pense-t-il, aura un effet d’entraînement. Il doit montrer l’exemple. Mais rien ne se passe. Plus il s’agite moins il s’explique. Il n’en a pas le temps, il s’est investi d’une mission envers et contre tout et tous. Seulement, la motivation ne se crée pas, tout au plus peut-on créer les conditions propices au développement de celle-ci.

Que faire alors ? Entraîner ses équipes à se projeter dans 2 scenarii

1. A quoi ressemblerait l’entreprise la moins préparée à la crise ?

L’objectif est de faire prendre conscience à l’équipe que sa société détient des atouts parfois uniques pour surmonter la crise.

Pour cela, l’équipe doit imaginer une entreprise du marché qui serait la moins bien préparée à la crise. Où est-elle située, quand a-t-elle été créée, quels sont ses taille, clientèle, positionnement,… ? L’équipe identifie les faiblesses qu’il leur faut absolument combattre. Elle mesure l’écart existant entre une véritable situation critique et la sienne et identifie sa marge de confort, de sécurité. Par là même, toute l’équipe renforce sa cohésion en retraçant le chemin parcouru et, surtout, garde confiance dans sa capacité à résister.

2. A quoi ressemblerait l’entreprise la mieux préparée à la crise ?

Cette fois, l’objectif est de réfléchir à ce qu’un concurrent ferait pour améliorer ses positions. L’équipe va se mobiliser contre l’ennemi clairement identifié, lui « déclarer la guerre ». Les freins historiques sautent. Il n’y a plus de verrous psychologiques bridant la créativité car c’est du concurrent qu’il s’agit. Souvent, les sceptiques sont les plus prolixes : leur souci de justifier leur pessimisme les amène à trouver nombre de menaces concurrentielles constituant autant d’opportunités. Là encore, l’équipe en sort plus forte car c’est dans l’adversité que les liens se resserrent.

Au travers de ces deux exercices, la crise est toujours présente mais la façon de la percevoir a changé. La confiance retrouvée permet à tous de s’ancrer dans le présent pour agir. Pas sous les traits évanescents, vaporeux, insaisissables de la crise mais sous ceux, matérialisés, d’un concurrent bien identifié.

De l’immobilisme vers le mouvement et la communication

Réflexion sur le positionnement stratégique, refonte de la gamme de produits ou de services,… en quoi ces projets à 3 ans vont-ils aider l’entreprise à créer une dynamique dès maintenant ? Il importe, pour le dirigeant, de faire le tri dans les projets en cours, d’en temporiser certains et de dégager des ressources pour les nouveaux.

Le faire, c’est bien. Le faire savoir c’est mieux

Chaque avancée, chaque succès doit être soigneusement mesuré et partagé au sein de l’entreprise. L’essentiel est d’entretenir une dynamique positive, de créer une saine émulation, de susciter la motivation, d’encourager la poursuite du travail.

Aller plus loin : la posture du jardinier

Ne pas connaître le temps qu’il fera, n’empêche pas le jardinier de préparer sa terre. Même en temps de crise, l’entreprise doit consacrer du temps à l’amélioration de son organisation, l’évolution de ses process, la renégociation de ses conditions d’achat,… En peaufinant ses rouages, l’entreprise rebondira plus efficacement en sortie de crise.

Aller plus loin : les opportunités

La dynamique retrouvée peut être entretenue car toute crise recèle ses opportunités :

· Quelles sont les cibles qui, en temps de crise, auront encore plus besoin des produits et services de l’entreprise ? Tels les prestataires de conférences téléphoniques surfant sur la hausse du carburant.

· L’offre pourrait-elle être transposée à un autre secteur d’activité ? Tel cet éditeur de logiciels de traitement d’appels d’urgence déclinant son offre aux industriels à activité critique.

· Quelle extension de mon offre pourrait intéresser mes clients existants ? Telle cette entreprise de nettoyage prenant en charge des travaux d’entretien.

Cette approche, tout en focalisant positivement les équipes, peut déboucher sur de véritables pépites de business et permettre, lors de la reprise, de rebondir plus vite et plus fort que ses concurrents.

De même qu’un bateau qui n’a pas d’allure, dérive et voit mal les récifs se rapprocher, l’entreprise en période de crise doit conserver du mouvement. La crise n’est pas l’affaire du seul patron, mais de toute l’entreprise. En sortir est l’affaire de tous.

Source : Le Cercle – Les Echos ; Ecrit par Eric Scaviner

Le 20 septembre 2012,

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Fierté, confiance et plaisir : les 3 piliers de l’engagement des collaborateurs

Les 3 piliers de l’engagement

Il existe probablement des tas de définitions de l’engagement dans l’entreprise. Sans doute est-il difficile de vouloir d’ailleurs en faire une définition, car il en existe autant qu’il y a de collaborateurs. En effet, il est réducteur et utopique de vouloir donner une définition générale à un état d’esprit qui ne peut se concevoir qu’individuellement. Cependant, cette notion me semble reposer sur 3 piliers, que sont la confiance, la fierté, et le plaisir. Cette approche présente également l’avantage de définir plusieurs dimensions, que l’on a parfois tendance à simplifier.

Je prendrai pour exemple l’engouement des services aux salariés (crèche, salle de sport, conciergerie…) qui, poussé par la porosité entre sphères professionnelle et personnelle et la nécessité de développer des actions concrètes à court terme, ne doit pas être la seule composante d’une stratégie RH, même si l’environnement quotidien est un élément à ne pas négliger dans l’engagement des collaborateurs. Il est aussi à noter qu’à un moment de l’histoire collective de l’entreprise ou individuelle du collaborateur, l’une ou l’autre dimension sera plus présente.

La fierté

C’est sur ce registre que l’on va retrouver les éléments de citoyenneté, de RSE, d’engagement en faveur du handicap. Cette dimension citoyenneté est d’ailleurs fréquemment associée à la Marque Employeur, à tort à mon sens, comme élément d’attractivité. Pourtant, sans être cynique, il suffit de regarder la place de ces items dans les classements des motivations des jeunes diplômés pour confirmer qu’ils n’entrent que très peu dans l’attractivité d’une entreprise.

En revanche, les actions de sponsoring, la qualité, l’innovation, le pouvoir d’attraction des produits et des services, le charisme des dirigeants, leur vision, sont autant d’éléments qui contribuent fortement à la fierté des collaborateurs. Des entreprises comme Apple, LVMH, Aérospatiale, et il en existe bien d’autres, entrent dans cette catégorie. L’acteur garant de la fierté, c’est la Direction générale qui définit le projet d’entreprise, la stratégie, qui donne le cap (ou pas) en matière de citoyenneté, qui porte les succès commerciaux.

Le plaisir

Managers (et aussi collègues) participent essentiellement à cette dimension : je parle ici de l’environnement de travail au quotidien, de la capacité à créer un esprit d’équipe, à définir un modèle managérial qui va modeler les interactions entre les personnes au quotidien ; c’est ce que la sagesse populaire nomme « l’ambiance ». C’est aussi le ciment qui va souder la « tribu », notion chère aux apôtres de la Gen Y, et qui contribuera à fidéliser ces populations sur des critères affectifs d’appartenance à un groupe.

Les managers doivent « gérer ce plaisir » malgré les contraintes, les exigences, les à-coups du marché tout en voyant diminuer ou disparaître un certain nombre de leviers de la reconnaissance qu’ils avaient à leur disposition (promotion, rémunération notamment). C’est dans cette dimension que viennent aussi s’inscrire les services, type conciergerie, qui se développent fortement actuellement, et dont l’initiative revient souvent aux RH, acteurs mineurs, mais pas absents du volet « plaisir ».

 

 La confiance

Elle s’appuie sur le contrat social, cet ensemble des règles du jeu écrites, acceptées et destinées à tous, parfois inscrites dans un cadre réglementaire. Elles ont vocation à proposer du stable dans un environnement et un avenir incertains. Mais attention, cette dimension est peut-être la plus difficile à satisfaire, car ces règles correspondent à une logique impersonnelle de l’entreprise, qui entrent vite en conflit direct avec l’aspiration des individus à l’autonomie, à l’individualisation. Et la confiance, c’est comme l’amour, ça ne se décrète pas, ça se gagne, et ça doit se nourrir de preuves chaque jour.

Les RH, puisque ce sont bien sûr les acteurs de cette dimension, jouent ici le rôle de garant du contrat social, et donc doivent se positionner en intermédiaire entre la Direction générale et les collaborateurs. Ces équipes RH ont à gérer une incohérence entre les attentes de reconnaissance des collaborateurs à court terme, et une vision long terme des besoins de l’entreprise. D’où peut-être un hiatus dans la notion de « Business Partners » des RH ressenti par les collaborateurs.

La fierté, la confiance et le plaisir : les 3 piliers de l’engagement

Il ne s’agit pas d’affranchir les RH dans leur responsabilité, mais plutôt de démontrer que la stratégie RH est un projet d’entreprise, et l’engagement et le bien-être des collaborateurs un objectif aux multiples acteurs et dans lequel la DG doit aussi se sentir investie et responsable. On ne peut à la fois affirmer l’importance de la dimension humaine dans la création de valeur, la performance économique et commerciale, et dans le même temps en faire porter toute la responsabilité sur les RH.

De même, on ne peut exiger de ces équipes RH qu’elles définissent des règles du contrat social (mobilité interne, rémunération, comportements managériaux…) qui ne seront pas suivies par le management, et ensuite lui faire le reproche de l’échec de l’engagement. Et il en est de même pour la dimension externe de cette stratégie RH : ici encore, et à fortiori dans une situation de forte concurrence ou de faiblesse d’attractivité, il convient de mobiliser l’ensemble des forces disponibles au sein de l’entreprise. Mais c’est un autre sujet, un autre billet peut-être.

Une dernière réflexion pour terminer

Les partenaires sociaux sont-ils les grands oubliés de ce billet ? Hélas non, car l’observation de l’entreprise confirme qu’ils ne sont plus un relais de l’expression du désengagement des collaborateurs. Jadis, ce désengagement prenait une forme collective : le mouvement social ; il est remplacé aujourd’hui par une attitude de défense passive individuelle, que Hubert Landier appelle « absentéisme moral ». Et dans le même temps, il note la piètre image des représentants du personnel aux yeux des salariés, dont les critiques portent « sur l’incapacité des syndicats à s’entendre entre eux, sur leur attachement à un discours idéologique qui ne correspond plus aux problématiques de l’entreprise… ».

Source : Le Cercle – Les Echos ; Ecrit par Franck La Pinta

Le 19 septembre 2012

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Le guide de l’excellence des marques françaises sur Instagram

Le réseau incontournable du moment

Tout le monde connaît la popularité d’Instagram, inutile de ressasser encore et encore des chiffres. Le topo : l’application sociale la plus à la mode, mais une opportunité marketing encore inexploitée. La plupart des marques se cantonnent à Facebook ou Twitter, mais ne savent pas utiliser Instagram pour se rapprocher de leur communauté. Pour ceux qui s’y débrouillent avec ingéniosité et technicité, c’est le boulevard du succès. Voici comment s’y prendre.

 

Ce qu’on y fait

Instagram, pour une marque, c’est un peu une grande avenue à double sens, l’avenue de la photo. Dans un sens, toute marque peut publier du contenu sous la forme d’une photo, d’un texte, et la possibilité d’indiquer des hashtags et des pseudos, sur le principe de Twitter. Ici, la marque doit proposer un contenu régulier, voire quotidien, des photos de produits, du conteu audiovisuel corporate, et également des clichés d’événements presse, de lancement produits, ou du “backstage”. Dans l’autre sens, nous sommes du côté des particuliers, qui eux, suivent votre marque, peuvent aimer ou commenter vos photos, mais encore mieux : proposer du contenu lié à votre marque, ce qui fait la promotion directe d’une entité, tout en divertissant les utilisateurs.

 

Villa Schweppes, un modèle à suivre ?

Schweppes sait que le nouveau réseau social à la mode permet une interactivité totale et une meilleure relation avec sa communauté. C’est Marin Susac, directeur digital d’Orangina-Schweppes et fier papa du compte @VillaSchweppes qui nous le dit. “Facebook a un potentiel de communication mainstream  et grand public alors qu’Instagram permet de toucher des communautés.” Mais la marque aux bulles ne s’arrête pas à ce constat, sa présence sur les réseaux sociaux “permet de faire découvrir au grand public le monde de la nuit via la marque Villa Schweppes, en reprenant des contenus relatifs à nos événements. Alors qu’Instagram nous permet de nous connecter à la communauté ‘nuit et digitale’ très présente sur ce réseau social et donc de légitimer notre discours.”

 

Air France survole le réseau

Mais Schweppes n’est pas la seule marque à succès sur la plate-forme. @AirFrance est indéniablement une des marques les plus populaires sur Instagram, avec près de 3700 followers, et des photos publiées presque tous les jours. “C’est une suite logique à notre stratégie de profiter de la puissance de l’iPhone et du mobile” dit-on au siège d’Air France. “Nous reprenons les photos qui illustrent notre actualité et proviennent essentiellement de la production audiovisuelle de notre site corporate. Instagram est un outil complémentaire associé aux autres médias, car nous publions parfois ces photos sur nos comptes Twitter. Néanmoins, nous utilisons au minimum les filtres pour proposer un rendu naturel.”

Pour que la boucle soit bouclée, la compagnie aérienne prend le soin de répondre à toutes les interactions échangées avec sa communauté, en répondant aux commentaires, en partageant les photos des followers pour leur donner le pouvoir.

 

L’industrie du parfum, leader de la créativité ?

En France, les entreprises qui ont tout de suite compris l’intérêt du réseau sont notamment celles de l’industrie du parfum et du luxe, et plus particulièrement pour les franchises Yves Saint-Laurent et Diesel. Pour YSL Parfums, une opération a été organisée et relayée sur l’ensemble des plate-formes de la marque pour inviter les utilisateurs à publier des photos sur un thème précis, avec le hashtag #breakfree, en rapport avec le slogan d’un nouveau parfum, sous la forme d’un concours créatif.

Concernant Diesel Parfums, la marque a elle opté pour réaliser une galerie de photos de tatouages sur son compte @otbtattoogallery, clichés proposés par les utilisateurs eux-mêmes, pour fédérer les abonnés autour d’une thématique précise et un univers attractif, relié au leitmotiv de la marque. Une solution efficace pour impliquer ses abonnés, et de leur laisser le pouvoir de communication. Ce n’est donc pas la marque qui génère le contenu, mais les utilisateurs, en publiant des photos personnelles avec un hashtag spécifique, qui est repris quotidiennement par les animateurs de la marque.

 

Lier les opérations offline au réseau social

Chez Air France, l’heure est aussi au live : “nous relayons les photos de nos événements presse et d’e-influence, et nous les dévoilons ainsi en avant-première à cette communauté”. Instagram est ainsi le tremplin parfait pour communiquer des opérations offline. La grande force du réseau, c’est d’être sous une forme qui se prête parfaitement pour ce qu’on pourrait appeler du contenu ‘backstage’, ‘behind the scenes’ ou ‘inside’, en proposant des photos en direct des événements de la marque (lancement produits, annonce presse, événement sponsorisé, vie du bureau, coulisses). Une vraie valeur ajoutée que les consommateurs apprécient beaucoup, pour percevoir une exclusivité.

 

Maîtriser Instagram dans les moindres détails

D’abord, il faut savoir utiliser Instagram. On peut prendre des photos avec son iPhone oui, si on sait s’y prendre et que l’on connaît quelques techniques basiques de photographie. Si vous ne maitrisez rien dans les zooms, l’éclairage, le contre-jour, le focus, allez chercher quelqu’un qui maitrise cet aspect un peu plus. On évitera également de trop saturer les photos et d’utiliser les filtres par défaut, cela embellit parfois certes, mais rien de vaut de belles photos aux couleurs naturelles pour véhiculer des valeurs d’authenticité, de transparence, montrant que des modifications artificielles ne sont pas nécessaires. Autre solution, beaucoup de marques ont un contenu audiovisuel exhaustif, et de nombreuses images corporate, alors n’hésitez pas à les utiliser, pour une plus belle qualité photo.

Pour parler créativité, Orange a été le premier compte à réaliser une mosaïque sur sa page, sur une très belle initiative, et réalisée avec perfection. La marque de jus de fruits Pago a elle aussi suivi le mouvement en présentant il y a quelques jours la sienne sur son compte Instagram !

D’autre part, on pensera à inclure des liens, si nécessaire, dans la description des photos, afin de garder les abonnés dans l’univers de la marque, pour leur donner la possibilité d’accéder à du contenu supplémentaire, il ne faut jamais manquer l’occasion de donner une porte vers d’autres informations corporate.

Pour aller plus loin, vous pouvez consulter deux présentations sur le sujet, pleines d’informations précieuses : la première faite par l’agence américaine Likeable, et la seconde par l’agence parisienne Dagobert. Merci à tous ceux qui ont témoigné pour cet article, et bravo aux responsables digitaux qui n’hésitent pas à innover sur Instagram.

Article paru dans http://www.mycommunitymanager.fr – Auteur : Alexandre Jouanne

le 17 septembre 2012

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Comment créer un logo??
Facile de créer un logo… La preuve en image !!

Bonne journée à tous.

Agence Impact

le 17 avril 2012

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La philosophie de l’agence Impact
Une citation qui résume très bien la façon de penser au sein des locaux d’Impact !
« Quand j’avais 5 ans, ma mère avait pour habitude de me dire que le bonheur était la clé de la vie. Quand je suis allé à l’école, ils m’ont demandé ce que je voudrais être une fois adulte. J’ai écrit : « être heureux ». Ils m’ont dit que je n’avais pas compris l’exercice, et je leur ai répondu qu’il n’avait pas compris la vie. »

John Lennon

Agence Impact

Mardi 28 février 2012,

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Il est l’heure d’offrir du bonheur à vos collaborateurs !
Lundi 27 février, 15h36 à quelques pas des locaux de l’agence Impact, nous prenons une pause. Un instant, sans nouvelles technologies, sans bruit mécaniques ou électroniques. Un instant pour observer, écouter et ressentir…

 La chaleur du soleil est enfin de retour, le léger bruit du clapot de la magnifique rade de Marseille nous incite à prendre le large et cette douce brise marine qui nous pousse à s’évader.

 C’est le moment d’offrir du bonheur à vos collaborateurs !!! Hisser les voiles, tenez votre poste, et en avant pour parcourir les flots et défier vos adversaires lors d’un incentive sous forme de Challenge de voile!

Agence Impact

Lundi 27 février 2012,

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Une adresse gastronomique reconnue dans le sud de la Corse
Le restaurant le Lido créé par Noël Pittiloni en 1932 n’a pas pris une ride!

Situé à Propriano sur un rocher faisant face au golfe du Valinco ce magnifique établissement à la fois simple et raffiné acceuille de nombreux gourmets, avides de déguster des plats préparés avec un savoir-faire reconnu et apprécié. En cuisine le jeune chef Romuald Royer possède un vrai talent, il sait mêler au raffinement de la tradition les couleur de la modernité.

Pour ces raisons le « Guide rouge » Michelin a attribué une de ces étoiles à ce restaurant très prisé.

Agence Impact

le 27 février 2012

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L’agence Impact aux Antilles !!!
Depuis le samedi 4 février 2012, nous avons le plaisir de vous s’annoncer que l’agence Impact continue son développement et a établi un nouveau camp de base dans les Antilles et plus exactement en Guadeloupe sous la direction de Nathan Loridon. Des événements sont d’ores et déjà dans les starting blocks!!! Du show chaud à venir !!!

Agence Impact

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le 8 février 2012

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Pourquoi l’agence Impact dans le sud de l’Algérie ?
Depuis 5 ans, nous inventons des aventures, créons du lien et offrons les plus belles rencontres ! Nous mettons en place des raids aventure destinés aux entreprises en Corse, Provence, Sénégal et Antilles. Ces aventures humaines ont séduit Dominique Loridon, Directeur du Développement International du groupe Swissnova qui a aussitôt pris l’initiative de nous inviter en Algérie pour nous faire découvrir la beauté, l’authenticité et la générosité du peuple Algérien. Il n’aura fallu que quelques heures pour que le charme opère !

 

 

Ensemble nous décidons de créer le 1er Raid Swissnova, un raid aventure solidaire ! Cette grande première aura lieu du 9 au 12 mars 2012 à Timimoun ! Ce raid rassemble dix entreprises d’Alégrie souhaitant défendre leurs couleurs au coeur de la nature saharienne. Mais aussi et surtout les profits de ce Raid Swissnova seront reversés à l’Association Des Enfants et Adolescents de Timimoun.

Amis du monde et d’Algérie, nous vous confions une mission de la plus haute importance ! Faites le buzz sur vos réseaux sociaux entreprises !

Retrouvez plus d’informations sur le Raid Swissnova :
http://www.raid-swissnova.org

C’était le dernier épisode de « Mission in Timimoun » by Impact,

Merci de nous suivre. A très bientôt

Agence Impact

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Le 15/01/2012,

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Suite « Mission in Timimoun »
Suite et bientôt la fin de notre série « Mission in Timimoun ». Pour notre retour nous décidons de boucler la grande boucle en rentrant par l’ouest pour une étape à Beni Abbès et Taghit pour dormir.

Arrivés à Beni Abbès nous sommes accueillis par Kaled et là 2 grandes surprises nous attendent… Après avoir raconté notre aventure sur la construction du « Sand »board, Kaled nous annonce qu’il est champion d’Algérie de Ski de fond sur sable et qu’il possède une association de ski sur sable!!!  Yalla!! Je crois que nous avons trouvé plus « fou » que nous!!
Direction le local à ski, on choisit nos chaussures, on vérifie les fixations, on prend les bâtons… Bref on a skié sur une dune !

Ce grand moment passé, Kaled nous propose découvrir un nouveau lieu extraordinaire… La piscine de Beni Abbès construite autour d’une source naturelle où l’eau sort à 25° !!!! Encore une découverte incroyable! Déshabillés en dix secondes, short enfilés en deux secondes… Bref nous avons nagé dans le désert d’Algérie !

Le soir nous partons vers Taghit pour notre dernière nuit dans le sud. La fatigue commence à se faire sentir après ces 10 jours intenses. Nous profitons tout de même d’une dernière soirée avec un groupe de jeunes musiciens locaux… Chanter, bouger, profiter, danser, telle est leur philosophie !

La suite au prochain épisode !

Agence Impact

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le 14/01/2012,

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Une action de communication ecoresponsable !!!
Vous l’avez surement compris l’agence Impact est une agence responsable. Très attentifs aux relations humaines que nous avons le privilège de partager, nous sommes aussi respectueux de l’environnement.
Pour cela nous avons emprunté à Madame Nature une parcelle de désert pour une action de communication éphémère !

Voyez par vous-mêmes…

Bien que la probabilité de tomber sur notre signature était relativement faible face à la grandeur des paysages, le soir même ainsi que le lendemain nous entendions déjà parler de cette inscription dans le sable. Incroyable !

Agence Impact

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le 13/01/2012,

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« Sand »Board made in Timimoun
Nous vous avions parlé de la construction de notre surf pour rider les dunes algériennes, voici une photo pour vous donner une idée de notre réalisation ! Accompagnés de notre artisan champion, vous remarquerez qu’avec un rien il a su répondre à notre cahier des charges (spatulé devant, arrondi bien coupé, positionnement des straps…) Sur cette photo nous étions en train de fixer les sangles pour servir de footstraps !

Agence Impact

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le 12/01/2012,

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Mission Timimoun
Les jours passent et ne se ressemblent pas, la luminosité qui façonne les paysages nous en met plein les yeux chaque minute, les nouvelles rencontres continuent et une affirmation nous revient constamment : « Il existe encore dans ce monde des gens profondément gentils et fiers de vous accueillir ! »

Après avoir découvert certains ksours, villages alentours, surfer les dunes, nous partons pour une randonnée sur les falaises accompagnés de la célèbre Fatnaa Legbaa. Un nouveau ksar, une grotte cachée, une vue incroyable, un déjeuner somptueux entre dunes et falaises, la bonne humeur des algériens du sud… Que la vie est belle !

Le lendemain c’est à dos de dromadaires que nous partons vers l’oasis de Tala. A notre retour de cette superbe journée nous apprenons que nous sommes invités à la maison de d’hôte de Brahim pour une soirée sous les étoiles accompagnée de musiciens jouant des carcabous.

La suite au prochain épisode !

Agence Impact

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le 10/01/2012,

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Timimoun suite…
Comme vous avez pu le constater j’ai failli à ma mission qui était de vous tenir informés de notre extraordinaire aventure au cœur du sud de l’Algérie ! De retour depuis le week-end dernier, je ferai un petit résumé chaque jour pour vous faire partager tout ça!!

Lors du précédent épisode, nous nous étions arrêtés à la construction d’un snowboard… Et bien nous l’avons fait au milieu du désert (Comme quoi il n’y a que des solutions, jamais de problèmes) !!! Après avoir parcouru les ruelles de Timimoun, fouillé les moindres magasins, menuiseries, tôleries, nous avons enfin trouvé nos matériaux. Une planche de bois pour la rigidité, une plaque en acier ultra fine pour la surface de glisse, 2 sangles pour les fixations, un coup de crayon pour le dessin de la planche et l’incroyable patience et aide de notre tôlier timimounien. Le tour est joué!! Nous voilà au sommet des falaises faisant face aux montagnes des Djoun en train de rider le sable algérien!!

Le soir nous étions invités par le chef d’un tout tout petit village situé à une centaine de kilomètres de Timimoun pour un jour de l’an au milieu des dunes. Au programme, thé à la menthe, foie de mouton à la braise, méchoui, thé à la menthe à nouveau, contes, chants, devinettes au tour du feu jusqu’au levé du soleil!! Bref que du bonheur autour de ce moment de partage !! Et un grand merci à notre guide et ami Ismail Selkh qui est à cette initiative.

La suite au prochain épisode !

Agence Impact

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le 09/01/2012,

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Quelques nouvelles depuis Timimoun
Arrivés lundi matin à Alger, direction Ghardaia pour dîner et dormir à la maison d’hôte de Saïd. Une première soirée qui restera dans nos mémoires!! Tout juste changés nous voilà avec un thé à la menthe des plus délicieux et un coucous pour continuer. D’autres personnes en transit se joignent à nous, les guitares apparaissent et c’est parti pour une grande soirée!!
Mardi matin direction Timimoun, arrivés pour le coucher de soleil et accueillis par la célèbre Fatnaa Lebgaa!! De nouvelles rencontres et une nouvelle aventure commence. Depuis nous rayonnons autour de Timimoun entre les Ksour, dunes et autres paysages grandioses!! Dès que nous pouvons, nous mettrons des photos en ligne !!

Demain l’objectif est de trouver ou construire un snowboard pour surfer les dunes !

A très vite !

Agence Impact

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le 30/12/20111,

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D-Day to Timimoun !!!
Le grand jour!! L’agence Impact s’envole pour le sud de l’Algérie.
Objectif : Mission de repérage pour le raid Swiss Nova 2012. De belles rencontres ainsi que de beaux paysages en perspective!!
La première étape s’arrêtera à Ghardaia avant de rejoindre Timimoun et ses grands déserts!!

Nous essaierons de vous tenir informer tout au long de cette belle aventure. Sinon RDV le 5 janvier 2012 pour notre retour.

Toute l’équipe vous souhaite tous ses vœux de bonheur, santé, de réussite dans vos projets pour cette nouvelle année 2012!!

Agence Impact

le 26 décembre 2011,

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Is this meeting really worth it ?
Voici peut-être l’outil qui fera surement réfléchir vos directeurs commerciaux ;o)
http://isthismeetingreallyworthit.com

Le 20 décembre 2011,

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Les chiffres de la semaine :
Quelques chiffres pour commencer la matinée selon P.DESHONS (directeur média de l’agence H) :

• 4h06 : durée moyenne d’écoute de la télévision chez les 4 ans et + du 12 au 18 décembre. (©Médiamétrie – Médiamat)

• 41% : part des internautes qui expliquent avoir du mal à se passer d’Internet + de 3 jours. (©CREDOC)

• 75% : part des 11-24 ans inscrits sur un réseau social. (©Etude SIMM-TGI Youth)

• 28 millions : nombre d’internautes qui ont regardé au moins une vidéo depuis leur ordinateur en septembre. En moyenne, 24 vidéos. Les trois sites les plus populaires étant Google/Youtube suivi de Dailymotion puis TF1/Wat. (©Etude Médiamétrie/NetRatings)

Le 20 décembre 2011,

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L’agence Impact en mission de repérage pour le Raid Swiss Nova 2012
Du 26 décembre 2011 au 5 janvier 2012 l’agence Impact s’envolera pour rejoindre Timimoun et ses grands déserts dans le sud de l’Algérie! De belles rencontres et paysages en perspective, nous ne manquerons pas de vous faire partager cette belle aventure!!
Nous vous souhaitons de Joyeuses Fêtes !!!

Agence Impact

le 19 décembre 2011,

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contact@impact-med.com

Le Tour de France s’élancera en juillet 2013 en Corse !
Pour la première fois de son histoire ainsi que pour sa 100ème édition, le Grand Départ du Tour de France partira de Corse. Trois étapes se dérouleront sur l’Île de Beauté; La première, plutôt favorable aux sprinteurs raliera Porto-Vecchio à Bastia en passant par Bonifacio; La seconde, plutôt montagneuse traversera la Corse de Bastia à Ajaccio pour un finish à hauteur des Îles Sanguinaires; Enfin la troisième plus courte mais intense conduira les coureurs à Calvi en passant par les Calanche de Piana (Patrimoine Mondial de l’UNESCO).

Vous souhaitez organiser un séminaire autour de cet événement majeur ? Confiez-nous votre projet

www.impact-med.com

Le 6 décembre 2011,

En route vers l’authenticité !
Préparez dès aujourd’hui votre prochain séminaire en Corse! Les pieds dans l’eau au coeur d’un hôtel familiale vos collaborateurs découvrent l’hospitalité et l’authenticité de l’Île de Beauté. Découverte de la réserve de Scandola en semi-rigides, veau à la broche, farniente en bord de la piscine et coucher de soleil sur les Îles Sanguinaires vous attendent!
L’agence Impact vous propose ce séjour à partir de 730€ HT/personne (tout compris hors transport aérien et maritime). Cliquez ici pour nous contacter

Le 26 septembre 2011,

Raid Impact en Corse – Mai 2012
Réservé aux entreprises, l’Île de Beauté vous accueille en Mai 2012 pour vivre le Raid Impact ! Au coeur d’une pinède les pieds dans l’eau avec une vue imprenable sur les Îles Sanguinaires, faites découvrir à vos collaborateurs l’authenticité et la beauté sauvage des paysages insulaires. Canyoning, recherche de balises, défi de stand up paddle, veau à la broche, détente au bord de la piscine et bien d’autres surprises vous attendent… Plus d’informations dans les jours à venir… www.impact-raid.org

Le 26 octobre 2011,

Assemblée Générale RESADIA 2011
Après trois jours d’émotions et de découvertes en Haute-Corse, retrouvez quelques photos en cliquant ici.
Le 26 septembre 2011,

Challenge Super U’s Cup
Dimanche 11 septembre 2011 sur les terres de Provence, 30 collaborateurs de Super U se réunissent  avec leurs familles pour une journée Grand Prix Karting & Quad. Retrouvez quelques photos en cliquant ici.

Le 19 septembre 2011,

SwissNova Raid, le raid des entreprises d’Algérie !

Du 29 avril au 2 mai 2011 dan le sud de l’Algérie, exactement à Timimoun, l’agence Impact organise le premier une nouvelle aventure humaine solidaire pour le groupe SwissNova. Une quinzaine d’entreprises de tous secteurs défendront leurs couleurs au coeur de la nature.

Plus d’informations sur http://www.raid-swissnova.org

Le 22 mars 2011,

 

Raid Impact 2011

Le 6 & 7 octobre 2011, soyez porteur d’une action Tourisme & Handicap à Marseille ! Etes-vous prêt pour le grand saut au coeur de cette aventure inédite ?

Plus d’informations sur www.impact-raid.org

Le 2 mars 2011,

 


Raid Impact 2011, le raid des entreprises du sud !

En Octobre 2011 à Marseille, 1er Raid Impact, une aventure humaine haut de gamme 100% locale, limitée à vingt entreprises de tous secteurs souhaitant défendre leurs couleurs au coeur de la nature en toute sécurité.

Pour participer au Raid, il n’est pas nécessaire d’être un expert des sports extrêmes : il faut de l’envie, de la concentration et beaucoup de fun !

Plus d’informations sur www.impact-raid.org

3 février 2011,

 

STOP aux événements ordinaires !

Avez déjà imaginé vos rêves devenir réalité??? Entièrement givré, sur les flots, au milieu du désert, dans le ciel… Osez être extraordinaire !!!! Impact conçoit et réalise votre projet ! Et si on se lançait??

N’hésitez pas à nous contacter :
contact@impact-med.com 

9 décembre 2010,

IMPACT & RESADIA

Kick off pour Resadia à Arles (150 personnes), presentation d’un groupe national, ambitieux et dynamique. Un événement d’exception qui marque les esprits !

26 novembre 2010,

IMPACT & ETIC

Rien de mieux qu’une escapade sauvage et chaleureuse au coeur de la Corse pour remercier ses collaborateurs ! A l’ombre d’un clocher à Calvi jusqu’aux Terrasses d’Aragon à Bonifacio, la magie du cadre est à la hauteur de ses hôtes.

15 septembre 2010,

IMPACT & DCF

En collaboration avec les Dirigeants Commerciaux de France, Euromed Management et MedInSoft, IMPACT participe au workshop sur l’emploi des commerciaux.

La mission étant de valoriser les nombreuses perspectives d’embauche au sein du métier de commercial auprès des jeunes diplômés.

6 avril 2010,

IMPACT & MedInSoft
Dans un projet cofinancé par l’Union Européenne et la Région PACA, MedInSoft (Réseau Méditerranéen des créateurs de logiciels) et IMPACT travaillent en synergie pour la formation de top-managers.

Pour cette année 2010, IMPACT met en place des ateliers de formation dédiés aux TIC (Technologies de l’Information et de la Communication)

Ces ateliers sont animés par des spécialistes de l’industrie des TIC (Alain Manoukian, Jean-Yves Tranchrand, Michel Davin, Denis Amblard, Stéphanie Beckendorff…).

29 mars 2010

 Opérations 2010 : Voyage de récompense en Corse du sud pour le Domaine de Vaissiere

En route vers les vallées de l’Ortolo (région de Sartène) pour un séjour exclusif autour d’une activité atypique : la chasse à la grive. Hébergés dans un des plus beaux hôtels du golfe d’Ajaccio, les journées alternaient pratique de la chasse et découverte conviviale du terroir corse à travers sa gastronomie et le respect de sa biodiversité.

15 février 2010,

 

IMPACT et ses engagements reconnus

IMPACT compte Raymond HAAS, directeur général du cabinet Empathie (conseil & formation en relations humaines) en tant que nouvel actionnaire.
 
01 février 2010,
Marseille, une ville de tourisme d’affaires

La ville de Marseille, a accueillie 267.000 journées de tourisme d’affaires en 2009, souhaite s’inscrire sur le plan national et européen comme la destination d’affaires des entreprises (suite…)
Consacrée Capitale Européenne de la Culture en 2013, Marseille se prépare pour cet évènement!

Extrait de l’article publié par www.entreprise-marseille.com le 30 octobre 2009

IMPACT, agence spécialisée en tourisme d’affaires & événementiel sur les destinations Provence et Corse, vous rencontre, vous écoute et conçoit votre évènement…

26 janvier 2010,

IMPACT vous présente son nouveau logo
Un grand merci à Anouk Loridon, la créatrice de notre logo.
Le scarabée tend à rapeller, nos origines méditerranéennes…(suite)
L’équipe IMPACT – 18 décembre 2009,
 

Un hôtel 5* domine le vieux-port Marseillais:

Marseille vient de rentrer dans le club très fermé des métropoles françaises disposant d’un hôtel 5 étoiles, ce qui lui ouvre la porte du tourisme très haut de gamme, notamment international. L’hôtel qui surplombe le Vieux-port de Marseille et fait face au Palais du Pharo, est le premier 5* de la cité phocéenne. Et l’un des tous premiers de la série des Sofitel.

Extrait de l’article publié par Entreprises – Hors série La Provence – Novembre 2009

27 novembre 2009

 

Corse… destination Tourisme d’affaires :

Du rêve, une identité forte, un art de vivre et de l’émotion en valeur ajoutée d’une palette complète de services, autant d’atouts que la destination Corse veut faire valoir pour faire la différence sur le segment tourisme d’affaires et événementiel. Choisir la Corse, c’est ajouter au séjour professionnel une dimension voyage dans une destination éco-touristique dotée d’un environnement préservé.

Une offre hôtelière de charme et de qualité pour vos événements
S’appuyant sur l’art de vivre « authentique » et des structures d’accueil de caractère, la destination se positionne comme une alternative de charme pour des petits groupes et permet de combiner, tout au long de l’année, tourisme d’affaires et culture.
Hôtels de charme installés dans d’anciens Palazzi , établissements de prestige au bord de mer, ou dans le centre ville tout proche du Palais des Congrès d’Ajaccio, la diversité de l’offre hôtelière, toujours idéalement située, séduira.

Formidable terrain de jeu pour les incentives
Pour stimuler, récompenser les équipes par des séjours organisés parsemés de découvertes, de rencontre d’un territoire très fort, dans un décor exceptionnel, les participants découvrent une nature, une culture, des traditions qui marquent.
Rallye-aventure sur les chemins de Corse : pistes en 4×4 à travers le désert des Agriates, couplé avec une balade pédestre sur les traces du chemin des douaniers, découverte de la vallée de l’Ostriconi en quad et de ses somptueuses plages de sable blanc. Rencontre des artisans, dégustation de spécialités de la région, plaisir des baignades qui ponctueront le parcours dans des décors à couper le souffle.
Dans les airs et en mer dans le sud de l’île, vue du ciel, la Corse prend une dimension étonnante. Hélico, ailes volantes, pilotage d’avions de tourisme, baptêmes de voltige, alliés à un parcours inoubliable en jet ski ou kayak de mer dans les eaux turquoise des criques de l’extrême Sud.
Parcours du berger ou du pêcheur en randonnée avec découverte de la faune et de la flore pour replonger dans les valeurs essentielles et les sens authentiques.
Team building, compétition d’équipe autour d’un parcours d’orientation pour développer l’esprit d’équipe et de compétition et dépasser ses limites dans un décor de rêve.

Destination Congrès, Conventions & Séminaires
Des équipements et outils dédiés accueillent les congrès, salons ou conventions dans des conditions optimales au rang desquels le palais des congrès d’Ajaccio www.palais-congres-ajaccio.com.
En dehors des centres de congrès, l’île dispose de tous les outils, services et structures nécessaires pour l’organisation de manifestations à caractère privatif ou non. Une gamme très large d’établissements hôteliers est dotée de salles de séminaires équipées proposant une restauration élaborée, garantissant une prestation professionnelle de qualité.

Extrait de l’article publié par France Guide : http://fr.franceguide.com/edito.html?nodeID=1482&EditoID=142896

23 novembre 2009

 site web de l’agence

www.impact-med.com

Bonne visite
 
L’équipe Impact
 

Tourisme d’affaires événementiel Corse Provence organisation séminaires congrès incentive convention lancement de produit cité des entrepreneurs voyage récompense team building